Épouse d’un officier anglais devenu gouverneur du Tanganyika entre 1921 et 1925, elle est un garant de la préservation des codes de la haute société coloniale de l’Empire britannique. Son ouvrage, publié en 1924, en est une bonne démonstration. Même si elle ne s’adonne pas assidument à la chasse, elle considère sa licence comme un droit de mort sur l’animal.